former l'éleveur afin de lui permettre de participer activement à toute action sanitaire concernant son troupeau et créer un autre type de relation entre le vétérinaire et l'agriculteur ; supprimer le principe du paiement à l'acte de l'intervention ; assurer la transparence des coûts tant en ce qui concerne les médicaments que le prix global des interventions ; assurer une meilleure coordination entre les différents techniciens en contact avec les élevages et entretenir une collaboration avec toute personne, association ou institut se préoccupant de problèmes d'élevage ; accorder à la prévention une place prioritaire et assurer une meilleure prise en charge des troupeaux par les vétérinaires ; mutualiser les coûts et les services par un système de cotisations à la brebis, indépendante de l'éloignement des exploitations et prenant en compte la totalité des interventions sanitaires même en cas de "coup dur"